On croyait Aramco intouchable. Sa vulnérabilité démontre surtout celle de Riyad…
Moins d’un mois après l’attaque-surprise des deux plus grandes raffineries du monde par l’Iran – via ses alliés outhistes du Yémen, en butte, depuis quatre ans, aux attaques de l’aviation saoudienne (voir à ce sujet la note CLES 212 du 25 janvier 2018) – la fièvre semble provisoirement retombée sur les cours du pétrole… Lire la suite »